24-01 2019
18:00
Rencontre publique avec Marcelo Evelin
25-01 2019
18:30
Ouverture au public du travail réalisé par les étudiants de l’Institut Supérieur des Arts et des Chorégraphies (ISAC)
Gratuit
Dans le cadre d’OPEN ACADEMY, l’Institut Supérieur des Arts et des Chorégraphies (ISAC) et la CENTRALE invitent le chorégraphe brésilien Marcelo Evelin.
Marcelo Evelin (né en 1962) est un chorégraphe, chercheur et interprète brésilien et l’un des noms les plus éminents en danse, en performance et en action politique dans l’art contemporain. Basé à Amsterdam depuis 1986, il a collaboré avec des professionnels de différentes disciplines sur des projets concernant la scène, la vidéo, la musique, des installations et des projets spécifiques avec sa société Demolition Inc. Il partage actuellement son temps entre l’Europe et sa ville natale de Teresina au Brésil, où il a fondé et coordonné le collectif artistique Núcleo do Dirceu jusqu’en 2013. Il enseigne l’improvisation et la composition à la Mime School de l’Académie de théâtre et de danse d’Amsterdam, où il développe son propre travail tout en guidant ses élèves dans leur processus créatifs. Il a dirigé des ateliers et des projets collaboratifs en Europe, en Amérique du Sud, en Afrique et, récemment, au Japon. Deux de ses pièces récentes, Matadouro (2010) et De repente fica tudo preto de gente (2012) continuent d’être présentées dans des festivals et des théâtres du monde entier. Batucada (2014) a été joué à Francfort et dans des villes du Brésil, après une première au Kunstenfestivaldesarts.
Un workshop entre l’artiste et les étudiants d’ISAC a lieu du 14 au 25 Janvier 2019 à la Tour à Plomb et à la CENTRALE.
Le workshop de Marcelo avec les étudiants d’ISAC prend comme point de départ la thématique de l’OPEN ACADEMY, centrée sur les mouvements d’insurrection, de résistance et les formes de désobéissance. La question du corps est traitée en premier lieu, l’invitation de Marcelo Evelin rejoignant et clôturant le travail de l’ISAC dans le cadre de l’OPEN ACADEMY autour du corps comme territoire de contestation.
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